Pour Laurent Gervereau, l’étude de l’image doit embrasser l’échelle planétaire et l’histoire humaine, tout en s’ancrant dans un regard hyperlocal. Pour nous sauver de la noyade visuelle, il en appelle à l’éducation, à la création de « plateformes-relais » et à notre vocation de «terristes». Par Nic Ulmi