Le champ des recherches sur le son connaît un essor remarquable et les chercheur·euses de la HES-SO y contribuent de manière innovante. Ce qui rend cet univers fascinant, c’est…
L’empathie n’est ni bonne, ni mauvaise en soi. Mais elle a ceci de particulier qu’elle peut se montrer sélective, manipulable et mener à l’épuisement. Bien accompagnée, elle peut cependant être un levier contre les discriminations. Par Geneviève Ruiz
Entre neurosciences et critique de la domination, l’essayiste Samah Karaki, dans son ouvrage L’empathie est politique, démystifie une faculté qu’on prend trop vite pour une panacée. Par Nic Ulmi
La photographe Ami Vitale, largement reconnue pour son travail sur la nature et la conservation et fréquemment publiée dans le magazine National Geographic, a consacré trois ans à un reportage dans une réserve de pandas en Chine. …
En oubliant l’humain, l’architecture délaisse-t-elle sa mission première ? Trois architectes décryptent les causes de cette négligence et proposent des solutions pour réintégrer le social et l’empathie dans leurs projets. Par Lionel Pousaz
Le soutien que l’on trouve dans son environnement professionnel peut jouer un rôle déterminant lors de la perte d’un être cher. Mais les entreprises peinent encore à anticiper ces situations. Par Élodie Lavigne
Face aux machines simulant l’écoute et la bienveillance, le recrutement entre dans une zone grise où se rejouent les frontières entre humains et algorithmes. Par Grégory Tesnier
L’empathie s’invite désormais jusque dans nos échanges avec les machines. Cette apparente bienveillance n’est pas le fruit du hasard, mais bien le résultat d’un travail délibéré. Le spécialiste de l’interface humain-machine Laurent Bolli analyse les enjeux de cette évolution. Par Nic Ulmi
L’hôtellerie régénérative bouscule les principes d’une industrie jusqu’ici tournée vers le profit. Elle souhaite développer des liens forts entre les établissements, leur personnel, les hôtes, l’environnement et les communautés locales. Par Virginie Jobé-Truffer
Les jeunes qui souffrent de troubles psychiques montrent parfois un déficit d’empathie. Comment expliquer ce manque de capacité à identifier ce que l’autre éprouve ? La réponse est neuroscientifique, mais également sociétale. Par Jade Albasini et Pawel Jonca