Le partage de données ne peut pas être appliqué de manière rigide dans le cas de recherches sur les êtres humains. Entre bénéfices d’ouverture et besoins de protection, des chercheur·es esquissent des solutions.
Le monde de la santé n’échappe pas aux bouleversements induits par l’intelligence artificielle et les outils numériques. Mais il n’est pas toujours facile pour les soignants de se positionner face à ces nouveaux enjeux. Par Stéphany Gardier