L’idéal d’autonomie est un héritage des Lumières, et plus récemment des mouvements d’émancipation de la fin des années 1960. Désormais intégré par les institutions étatiques et par les entreprises, il est devenu un mot d’ordre. Qui pourrait bien finir par imploser face aux intelligences artificielles.
Les outils « intelligents » deviennent de plusen plus autonomes et influencent l’impact de notre action sur le monde. Mais ils sont toujours programmés par des humains. Analyse et appel à l’action de Johan Rochel, spécialiste de l’éthique et du droit des nouvelles technologies.
Tout a commencé avec une visite de la République du Saugeais en 2012. Celle-ci regroupe 11 villages situés dans la région du Haut-Doubs à la frontière franco-suisse. Créée en 1947, elle possède son hymne, son laissez-passer, son douanier et son président·e.
Cela fait plus de vingt ans que le philosophe politique Guillaume Mathelier mène des recherches sur le revenu d’existence et la dotation en capital pour les jeunes. Le maître d’enseignement à la Haute école de gestion de Genève (HEG-Genève) – HES-SO considère que ces outils permettraient de conférer de l’autonomie aux individus face à un…
Un projet en cours connecte l’égalité de genre à la numérisation du monde. Il part du constat qu’il y a à la fois trop peu de femmes dans les professions du numérique et trop de biais qui les excluent en tant qu’utilisatrices.
Open source, open data, open government, open science… Les multiples mouvements open véhiculent des valeurs comme la liberté, l’accessibilité, la transparence ou le bien commun. La réalité actuelle est autrement plus complexe.
Séances de physiothérapie pour personnes sans statut légal, dépistage auprès des travailleuses et travailleurs du sexe, consultations pour sans-abris ou actions de prévention auprès de communautés précarisées : coup de projecteur sur quatre projets genevois qui cherchent à atteindre les individus exclus du système de soins.