Le champ des recherches sur le son connaît un essor remarquable et les chercheur·euses de la HES-SO y contribuent de manière innovante. Ce qui rend cet univers fascinant, c’est…
Notre environnement est-il plus bruyant qu’autrefois ? Si aucune réponse simple n’existe, notre époque semble marquée par une intolérance au bruit. Un architecte et une artiste sonore esquissent des pistes pour dépasser l’approche par l’insonorisation et repenser la réalité incertaine des relations vibratoires.
Depuis quinze ans, la chercheuse Juliette Volcler explore les manières dont le son est utilisé pour orchestrer nos comportements. L’efficacité de ce contrôle n’est pas forcément là où on le croit.
Depuis 2017, le Concours d’images scientifiques du Fonds national suisse (FNS) invite les chercheur·euses suisses à partager avec le grand public des images issues de leurs travaux. « Ce concours est unique car nous appliquons des critères esthétiques…
Souvent considéré comme une simple nuisance, le bruit des machines industrielles constitue une mine d’informations. Avec l’aide de l’IA, une équipe de recherche souhaite les valoriser.
Longtemps associées au diagnostic de schizophrénie, les hallucinations auditives ne sont désormais considérées comme pathologiques que dans une minorité de cas. Des spécialistes font le point sur les connaissances et les traitements actuels.
Pour mieux comprendre commentcommuniquent des primates d’Afrique duSud, une équipe composée d’ingénieur·eset de spécialistes du comportement animala mis au point un micro permettant derécolter leurs sons.
La Chaux-de-Fonds, illustration remarquable de l’urbanisme horloger reconnu par l’Unesco, est aussi un corps sonore qui n’a pas son pareil. Une recherche originale dévoile l’âme vibrante de la cité perchée à 1000 mètres d’altitude.
En partant de l’exemple genevois, un chercheur a analysé comment les sons nocturnes ont peu à peu été perçus comme de la pollution sonore, avant de faire l’objet d’une campagne de santé publique.
Le son est une matière physique, une réalité sociale et aussi un univers fantôme pour Thibault Walter. Il est au cœur d’une exploration que le chercheur mène entre les scènes de l’art sonore et les salles de l’ECAL.
Lorsqu’il déambule dans des lieux sans intérêt particulier avec son instrument, Laurent Estoppey interprète les paysages sonores que lui offre son environnement : voix d’enfants, sirènes d’ambulance, aboiements…