Les outils « intelligents » deviennent de plusen plus autonomes et influencent l’impact de notre action sur le monde. Mais ils sont toujours programmés par des humains. Analyse et appel à l’action de Johan Rochel, spécialiste de l’éthique et du droit des nouvelles technologies.
Open source, open data, open government, open science… Les multiples mouvements open véhiculent des valeurs comme la liberté, l’accessibilité, la transparence ou le bien commun. La réalité actuelle est autrement plus complexe.
Depuis son poste au sein du Conseil latino-américain des sciences sociales, Dominique Babini observe le mouvement open évoluer entre pièges et promesses. Cette spécialiste en sciences de l’information s’engage depuis vingt-cinq ans à faire circuler le savoir autant dans les sphères scientifiques que dans la société.
L’association openmovement vient de sortir le premier prototype de mouvement horloger libre de droit. Mais ce genre d’initiative reste exceptionnel, le secteur étant rétif à partager ses secrets.
Le partage de données ne peut pas être appliqué de manière rigide dans le cas de recherches sur les êtres humains. Entre bénéfices d’ouverture et besoins de protection, des chercheur·es esquissent des solutions.
La plupart des Suisse·sses ignorent le montant de leurs rentes après 65 ans. Une équipe développe actuellement un prototype de plateforme qui permettra de simuler son revenu à la retraite.
Le domaine Économie et Services, formé par sept hautes écoles présentes dans six cantons, mène des recherches dans une large palette de thématiques : management, entrepreneuriat, gestion de l’innovation, transformation numérique, durabilité ou encore hôtellerie, pour n’en citer que quelques-unes. Totalisant plus de 7000 étudiant·es, il fait partie de la HES-SO depuis 1998.
Le domaine Ingénierie et Architecture fait partie de la HES-SO depuis ses débuts en 1998. De nombreux instituts de recherche émanent de cette communauté de six hautes écoles dont les sites sont répartis dans sept cantons. Les thématiques abordées vont de l’ingénierie des médias aux technologies industrielles, en passant par la gestion de la nature.
Stéphane Lecorney mène des projets en lien avec la sobriété numérique. Ce chef de projet R&D à la Haute École d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud – HEIG-VD – HES-SO estime qu’il faudra faire tôt ou tard des choix parmi nos usages virtuels, notamment afin de lutter contre le dérèglement climatique. Par Maxime…
Déclenchée par des mains humaines ou par des machines autonomes, la photographie numérique est en train de submerger le réel. Deux études lui cherchent un avenir en sondant cet océan visuel. Par Nic Ulmi