Le domaine Économie et Services, formé par sept hautes écoles présentes dans six cantons, mène des recherches dans une large palette de thématiques : management, entrepreneuriat, gestion de l’innovation, transformation numérique, durabilité ou encore hôtellerie, pour n’en citer que quelques-unes. Totalisant plus de 7000 étudiant·es, il fait partie de la HES-SO depuis 1998.
Les indicateurs économiques peuvent-ils chiffrer la quête de bien-être, une notion aussi philosophique qu’indéfinissable? L’exercice s’avère d’autant plus délicat que les besoins et leur satisfaction ne contribuent pas tous à une vie heureuse. Par Lionel Pousaz
Pour Laurent Gervereau, l’étude de l’image doit embrasser l’échelle planétaire et l’histoire humaine, tout en s’ancrant dans un regard hyperlocal. Pour nous sauver de la noyade visuelle, il en appelle à l’éducation, à la création de « plateformes-relais » et à notre vocation de «terristes». Par Nic Ulmi
Séduits par des vidéos montrant leurs influenceurs préférés en train de déguster bonbons et autres sodas, les enfants se ruent sur les sucreries. Sans percevoir qu’il s’agit de publicité déguisée, comme le montre une étude en neuromarketing. Par Patricia Michaud
La musique peut contribuer à l’amélioration des rapports politiques et commerciaux, parfois difficiles, entre les pays. Un projet de recherche analyse les différents modèles de la diplomatie musicale. Par Andrée-Marie Dussault
Plus on s’essaie à définir le proche, plus il s’éloigne. Référentiel, idéologie ou valeur, la proximité s’est invitée dans tous les discours sans revendiquer d’appartenance politique. Ce mot-valise permet aussi d’interroger nos vies virtualisées. Par Geneviève Ruiz
Le paysage peut-il être davantage que décor et scénographie ? Peut-il devenir acteur et personnage? Maria Da Silva, metteure en scène, et Nicolas Dutour, paysagiste, ont investi la friche de Prilly-Malley près de Lausanne pour tester des formes théâtrales comme réponse à cette interrogation. Par Marco Danesi
Qu’ils soient nazis, soviétiques ou nord-coréens, les régimes totalitaires ont toujours trouvé dans le cinéma un partenaire de choix pour véhiculer – et imposer – leur idéologie. Mais la notion de propagande ne tisse-t-elle pas sa toile jusque dans les grosses productions hollywoodiennes? Par Tania Araman