L’histoire de la finance moderne est jalonnée d’incidents que l’on n’a pas su prévoir. Les économistes ont-ils toujours tort, comme on l’entend parfois, ou leur discipline est-elle par nature mal équipée pour prédire l’avenir? Par Lionel Pousaz
La révolution des Big Data signe-t-elle la fin de la pensée, comme on l’entend parfois ? Les scientifiques du futur se contenteront-ils de passer sans trop réfléchir d’énormes quantités de données à la moulinette algorithmique ? Ce serait méconnaître à la fois la nature de la science et de notre intellect. Par Lionel Pousaz
Le semi-confinement du printemps 2020 a entraîné une explosion de la pratique du télétravail en Suisse. Suite aux feedbacks positifs des collaborateurs, une pérennisation se dessine. Une nouvelle qui réjouit les spécialistes, mais à certaines conditions. Par Patricia Michaud
Des mois après le confinement, l’occupation des transports en commun reste inférieure à celle de début 2020. Retrouvera-t-on un jour le niveau des déplacements collectifs précédant la pandémie? Par Virginie Jobé-Truffer
La crise du coronavirus a apporté une preuve de plus: à l’heure de la numérisation, la montagne d’informations à laquelle sont confrontés les internautes rend le journalisme de qualité plus important que jamais. Plusieurs projets de recherche surfent sur la technologie pour redonner du souffle aux médias en difficulté. Par Patricia Michaud
La dématérialisation numérique et la multiplication des activités socio-culturelles conduisent les bibliothèques à réinventer la notion de patrimoine. De la conservation des livres, leur rôle se déplace vers la création de liens. Par Nic Ulmi
L’usure du temps, le climat, l’action de l’homme, notamment, menacent la conservation des biens et des objets patrimoniaux tangibles. Régis Bertholon, professeur, responsable de la filière Conservation-restauration de la Haute école Arc à Neuchâtel – HES-SO, passe en revue les enjeux de cette course contre la dégradation de l’héritage physique des sociétés humaines. Par Marco…
On estime à plus de 75’000 le nombre d’entreprises familiales qui seront confrontées à une succession d’ici cinq à dix ans en Suisse. Un processus délicat dans lequel les facteurs humains jouent un rôle central. Par Patricia Michaud